Variations

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HARRY GAABOR – Urban Art

Tel : 06 42 93 60 71
mail : gaaborharry@yahoo.fr
Site : http://harrygaabor.blogspot.fr/
facebook : https://www.facebook.com/pages/Harry-Gaabor/522889457786760

Harry gaabor est un plasticien aixois, né en 1982. Son univers est entre le kitch, le nouveaux réalisme, la bande dessinée et la nouvelle figuration. Ses sujets et travaux portent sur les écosystèmes, l’être humains,  la politique, les religions, les sciences, la philosophie…

FRANÇOISE MOUSSEAU – Sculpture Raku
tel : 06 34 99 34 83
Mail : fr.mousseau@laposte.net

« Avec la terre je découvre un univers plein de possibilités de recherche et de création. Le travail de la terre apprend l’humilité , ne pas tout contrôler,  se laisser surprendre… Comme dans mon travail à l’encre, la technique du raku et de l’enfumage laisse une place à la beauté et la magie du hasard.  J’aime expérimenter, me laisser porter par l’intuition , m’inspirer de la poésie des éléments naturels  : bois, écorces,  galets, aller à l’essentiel. J’aime m’absorber dans la rondeur,  la sensualité des formes simples que l’on a envie de caresser.

Polir longuement une pièce c’est comme entrer en méditation…..comme on ramasse un galet qui nous fait rêver à d’infinis voyages. »

COQUELICOT – Sculptures terre
Tel : 06 13 46 29 02
Mail : coquelicot.84@orange.fr
site : http://lateliercoquelicotcvl84.blogspot.fr/

« Au travers de mes sculptures, que j’ai nommées « Vénus », j’ai cherché à sublimer la femme en invitant le tout premier canon de beauté à s’épanouir dans notre contemporanéité. Mes Vénus, inspirées des statuettes préhistoriques, s’inscrivent ainsi dans un mouvement moderne en conservant simultanément l’esprit de leurs aînées et proposent dès lors une optique nouvelle de l’art premier, tel un trait d’union entre passé et présent, avant de se projeter confiantes dans l’avenir. Forte de cette vision du corps de la femme à l’apogée de sa métamorphose et de sa figuration opérée sur des millénaires, j’ai souhaité décliner ma Vénus dans sa chair et dans sa quintessence. Deux séries ont ainsi déjà vu le jour. Je les ai respectivement intitulées les Vénus Premières et les Vénus Outre-mer.

Universelles, ancrées à la Terre nourricière, les Vénus Premières portent par essence l’héritage de l’humanité, transmettent la vie ainsi que les valeurs. Désormais, elles choisissent également de s’émanciper, d’affirmer leur féminité comme leur sensualité. Elles se libèrent délicatement en alliant la symbolique de la fécondité à la grâce des courbes épurées et à l’élégance du mouvement. Leurs membres originels, devenus superflus, se fondent même dans une silhouette embellie d’harmonieuses rondeurs. Pièce unique réalisée selon la technique de la ronde-bosse qui offre une vision en trois dimensions, chaque sculpture présente ainsi différentes facettes alternant avec les sinuosités et les effets d’ombre ou de lumière. En hommage à leurs aînées, ces Vénus sont de petite taille (de 10 à 25 cm) et prennent corps dans le grès chamotté de couleur ébène ou miel suivant un processus technique précis. D’abord modelées, elles sont ensuite évidées, grattées, lissées ou polies, subissant diverses étapes de séchage avant cuisson. Elles sont enfin baptisées, en fonction de leur carnation, de noms issus d’ethnies noires africaines ou de prénoms celtes.

Mais, tandis que la Vénus Première s’affranchit des codes sociétaux en affirmant sa sensualité dans la maternité, la Vénus Outre-mer s’émancipe dans l’ambivalence préfigurant une abstraction grandissante à la jonction de la ligne et de la courbe. Fruit d’une merveilleuse rencontre entre le figuratif et l’abstrait, elle s’épanouit ainsi dans une ondulation naturelle désormais soutenue par une angulosité nouvelle. De sa silhouette élancée et volontairement épurée, elle témoigne de sa société moderne en quête d’identité et propose une vision androgyne du corps en pleine mutation dans l’union du masculin et du féminin. Nourrie d’influences éclectiques, empreinte d’origines lointaines, tantôt ottomanes, tantôt scandinaves, elle se pare d’un bleu lumineux pour conter ses envies de voyages vers un horizon renouvelé, plongée dans l’azur du ciel comme dans les profondeurs des mers ou des océans. entre le figuratif et l’abstrait, elle s’épanouit ainsi dans une ondulation naturelle désormais soutenue par une angulosité nouvelle. De sa silhouette élancée et volontairement épurée, elle témoigne de sa société moderne en quête d’identité et propose une vision androgyne du corps en pleine mutation dans l’union du masculin et du féminin. Les Vénus Outre-mer prennent également corps selon la technique de la ronde-bosse mais elles se distinguent des Vénus Premières par leur apparence aussi bien bidimensionnelle que tridimensionnelle. Pièces uniques, sculptées dans le Siporex, elles sont ensuite enduites avant d’être patiemment patinées. Plus grandes que les Vénus Premières, les Vénus Outre-mer étirent leurs délicats contours de 25 à 35 cm de hauteur. Elles sont enfin baptisées de noms normands, en hommage à leur tempérament quelque peu conquérant. »

CATHERINE FERRER – Céramiques raku
Mail : catherine.ferrer@neuf.fr

« J’aime aussi transmettre mon savoir et ma passion lors des stages que j’organise et voir la magie partagée
Ma démarche est de rejoindre par le procédé d’émaillage Raku la philosophie japonaise de l’Art brut sans artifice, de rejoindre la Nature. La forme modelée semble naître de la matière minérale. J’ai voulu créer une alliance d’une certaine brutalité dans la réalisation technique avec la douceur des formes du corps humain ou des objets : opposition entre chaleur humaine et froideur du minéral. Mes dernières réalisations sont en « raku nu » , des formes épurées en noir et blanc, encore plus intemporelles. »

Sentinels of the Earth

Expo PRichard & UHanes 20152

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CONTACTS

Philippe Richard
3092 Route Départementale 10
13100 St Marc Jaumegarde

philip-MEI@orange.fr
06 45 17 11 16
www.motherearthimpressions.com

Ursula Hanes
Ateliers Fourwinds
La Julière – Route départementale 24-a
13930 Aureille – France

33 (0)4 90 59 93 42
ateliersfourwinds.com

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URSULA HANES – Sculptures terre & bronze

Ursula Hanes est diplômée de l’Ecole d’Art de Cambridge (UK), de l’Institut des Beaux Arts de l’Université de Columbia, de la ligue des étudiants d’Art (New York/USA), de l’Institut de Pédagogie de l’Université de Toronto (Canada). Elle a été l’élève de William Zorach et Henry Moore a été son mentor tout au long de sa vie. Elle réside actuellement dans le sud de la France après avoir vécu aux Etats Unis, en Angleterre, en Italie, à Lanzarote, au Mali, au Maroc et bien sûr au Canada d’où elle est native. Depuis 1994, avec sa collègue Donni Buffalo Dog, elle a créé, au pied des Alpilles, les Ateliers Fourwinds, refuge où les artistes peuvent venir travailler et partager leurs idées. Elle expose dans le monde entier. On peut admirer une de ses œuvres dans les collections permanentes du Musée du Nouveau Monde de la Rochelle.

URSULA HANES parle de ses montagnes…

En 1995, lorsque je me suis installé en Toscane, l’impact des formes des montagnes m’a procuré une vive inspiration et la base de ce qui serait une longue recherche qui dure depuis 15 ans et n’est pas encore arrivé à son terme. Je ne peux pas expliquer pourquoi les montagnes m’ont toujours tellement fascinées, je constate simplement que quelque soit le lieu où elles se trouvent dans le monde, elles semblent posséder une personnalité, un caractère individuel et émettre des vibrations bien spéciales et qui leur sont propres. L’effet qu’elles ont sur moi remonte à mon enfance dans les îles britanniques, où nous passions nos vacances tantôt dans la région des lacs, au Pays de Galles ou encore en Ecosse.

On peut remarquer une évolution dans la façon dont je perçois mes pièces, dans la simplification des formes et des volumes, dans les espaces négatifs et la texture de leur surface. Le contraste est très évident quand j’ai quitté la Toscane et celle où je suis venue en France, au pied des Alpilles, et où j’ai appris à aimer les pics, les contours pointus qui se détachent sur l’horizon. Souvent mon imagination se débride en regardant les surfaces érodées de ces gros blocs de calcaire dont la couleur varie en fonction de la lumière et des saisons de l’année. En même temps que j’essaye de résoudre les difficultés rencontrées dans la réalisation de chaque pièce de sculpture, se pose aussi les questions et la recherche de solutions concernant une série de sujets qui me semblent très importants à l’aube du nouveau millénaire. Ces deux processus évoluent simultanément et sont en constante relation. C’est tout simplement là ma façon de rester saine d’esprit dans ce monde de plus en plus violent et égoïste.

Il y a eu d’abord la position de l’homme et de la femme, leur rapport et la quête pour l’harmonie dans leur relation qui implique que chacun d’eux ait une voix égale et un respect mutuel afin que notre société fonctionne bien. De là a commencé à se préciser l’équilibre entre le masculin et le féminin présent dans chacun de nous. Quand cet équilibre est maintenu, la lutte pour la domination deviens très secondaire par rapport à d’autres valeurs que nous recherchons tous dans ce monde qui évolue de plus en plus vite vers la haute technologie. Cela nous permet de laisser de côté l’arrogance qui fait croire que nous , Homo Sapiens, sommes supérieur à tout autre être vivant sur cette planète, et peut-être aussi de prendre en considération les effets de nos décisions et actions en rapport avec environnement dans son ensemble avant de plonger dans la ”voie rapide du progrès” qu’on pourrait appeler surexploitation.

Ce manque de conscience et le désir de foncer vers l’avant toujours plus rapidement a provoqué de graves conséquences écologiques, alors que le nombre de soi-disant ”désastres naturels” augmente régulièrement. La terre tente désespérément de nous prévenir et nous ne pouvons pas continuer à l’abuser ainsi par notre manque total de respect pour toutes autres formes de vie qui sont pourtant vitales pour notre propre survie.

Mes montagnes-personnages ont soufferts de secousses sismiques, des incendies de forêt et de tous types d’érosions, mais malgré leur aspect défigurées elles sont toujours là! Il nous suffit de regarder les carrières dans les montagnes autour de Carrare en Italie, pour comprendre ce que la haute technologie est en train de détruire de plus en plus vite.

A voir la vitesse avec laquelle ce marbre blanc et magnifique est arraché aux montagnes, laissant des cicatrices et des gouffres s’enfonçant jusqu’aux entrailles de ces massifs montagneux, on peut se demander si cette puissante déclaration de Amérindiens ”Seules les montagnes sont éternelles”, a encore un sens.

Par dessus tout, mon œuvre est une constante célébration de l’interaction illimitée des formes marquées de textures d’érosion variées que les montagnes nous offrent. Mais sous-jacent cette immobilité ou ce mouvement ondulant à travers les masses, transparaissent des pensées profondes et troublantes concernant la survie de cette miraculeuse structure écologique qu’est notre monde. Serons-nous capable de réajuster nos valeurs humaines afin de permettre à cet équilibre de se maintenir, alors même que notre propre conscience change constamment ? Pour y arriver, il faudrait pouvoir nous glisser dans la peau d’une baleine ou d’un dauphin en péril d’extinction dans la mer, ou bien dans l’écorce d’un arbre massacré par une tronçonneuse dans la forêt tropicale.Oui il serait peut-être possible de réviser notre sens des valeurs mais seulement à condition de s’assimiler spirituellement à la montagne, pour devenir soi-même montagne.

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PHILIP RICHARD
– Photographies

Approche créative

Les impressions ressenties au sein de la nature vierge sont souvent fortes et diverses, elles ne proviennent pas de la simple beauté des paysages; il y a souvent quelque chose de plus, un sentiment de mystère et de puissance, qui nous fait pressentir des forces qui nous dépassent.

Jai compris, à loccasion de nombreux voyages, que malgré la diversité des cultures et lapparente superficialité ou matérialisme de beaucoup, il y a des valeurs universellement partagées par chaque être vivant lorsquil se retrouve devant le spectacle de notre univers; ce sont des sentiments primaires dattirance, amour, respect ou crainte vis à vis de la nature, reminiscence surement de nos origines, même si ceux-ci sont souvent partagés avec la croyance naive ou prétentieuse, de supériorité de lhomme sur son environnement.

Ce sont ces sentiments que je veux faire ressurgir chez le spectateur de mes photographies. Etre un simple messager de la beauté, du mystère et des forces de la nature; mais aussi faire comprendre que nôtre Terre Mèredoit être traitée avec respect, et quentre ses manifestations de puissance ou de fragilité nous ne savons pas encore quelle sera la réponse à nos illusions de grandeur.

Approche photographique

Penser “en dehors des limites, je me suis orienté naturellement vers la photographie panoramique grand format en haute résolution, afin de mieux exprimer l’ampleur, la force, la beauté, la magie de l’univers qui nous entoure. En quelque sorte « sortir du cadre » pour retrouver l’impact visuel et mental ressenti par nous les humains devant les merveilles de notre « Terre Mère

La technique panoramique que jutilise consiste a réaliser, avec du matériel de très grande qualité, une scène à partir de nombreuses photographies côte à côte, typiquement 10 à 30 prises de vue. La résolution des images obtenues ( jusqu’à 500 Mpixels ou plus) rivalise avec celle de loeil humain, et permet de réaliser des oeuvres de très grand format conservant toute les finesses de la scène, ce que jappelle des panoramas immersifs.

Curriculum Vitae

dans une petite ville du sud-est de la France; adolescent j’avais deux passions: l’univers et les couleurs, que j’ai assouvies grâce à l’astronomie et la photographie.

La première passion m’a conduit vers une formation scientifique, puis une carrière dans le domaine aérospatial, tout dabord de chercheur scientifique puis dentrepreneur, qui ma donné loccasion de nombreux voyages dans le monde.

La seconde .a été un fil conducteur, qui ma conduit après de nombreuses années et multiples expériences en photographie vers une activité dartiste photographe.

Expositions:

SMART (Salon Méditerranéen d’Art Contemporain- Collectif Espace 361), Aix en Provence, 2015

Galerie Espace dArt Contemporain 361°” Aix en Provence, sept 2014

Salon d’Art Contemporain, Bastille, Paris 2014

Nuit de la Photo, Paris 2013

Salon d’Art Contemporain, St Sulpice, Paris 2013

Rencontres Photographiques Phocea, Marseille, oct, 2012

ArtPhoto, Pont Alexandre III, Paris, 2012

Nuit de la Photographie, Paris, 2012

SMART (Salon Méditerranéen d’Art Contemporain), Aix en Provence, 2012


Terre des hommes

Expo Zani & Plaisir 20152


PHILIPPE PLAISIR – SCULPTURES 
CÉRAMIQUES

E-mail : philippe.plaisir@gmail.com
Web site : www.terrae-lumina.com
Tél : 04 94 99 38 76
Port. : 06 59 91 94 59

DÉMARCHE

Ayant construit des bateaux pendant vingt-sept années j’ai décidé un jour de changer de cap… Après la mer, la terre ! Mes sculptures sont abstraites ou figuratives. Elles évoquent la vie, les hommes, les éléments et la complexité de la vie. Mon univers se situe à la frontière du temporel et du spirituel.

Chaque forme a sa musique, sa vibration sublime et délicate. 

Fascinante matière…Voila quelques années déjà que la terre me charme et me séduit.Compagne docile, mais parfois imprévisible qui se laisse pétrir, caresser, transformer mais qui n’accepte pas tout, et sait nous reprendre souvent !…

Ce rapport avec la terre, je l’aime par dessus tout,  mon travail actuellement est une recherche constante. La connaître vraiment, la brutaliser parfois — je le reconnais — en la mélangeant à d’autres matières pour tester sa tolérance !
Je ne me lasse pas de contempler sa beauté brute, pure et sans artifices.
Je la respecte et laisse glisser mon imagination dans ses veines, avec respect, pour qu’elle conserve toute sa noblesse. 


E X P O S I T I O N S

2015
Le Pradet Galerie Gravero
Valbonne
Mairie D’Aix en Provence Le pavillon

2014
Opio Galerie Art Riviera
GMAC Paris
Lavoir Vasserot Saint Tropez
Saint Raphael Salle Alberge
Biennale d’Albissola(Italie) troisième prix
Salon international d’art Hyères les palmiers Prix spécial du jury
Galerie Zanka Antibes
Terre en cave Le bar sur Loup
Galerie Casablue Valbonne
Salon art contemporain ART3F Montpellier
Espace d’art contemporain Aix en Provence
Musée ( TERRA ROSSA) Salernes

2013
Aix en Provence Galerie ( Les amis des Arts )
Nice Salon international d’art Prix de l’originalité
Roquefort les Pins Centre Culturel
Saint Raphael Salle Alberge
Bonifacio Espace Saint Jacques

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ZANI – Tableaux céramiques

E-mail : contact@z-a-n-i.com
Website : www.z-a-n-i.com
+33 (0)6 72 87 25 10

 

DÉMARCHE

J’ai patienté avant de devenir sculpteur. Ce n’est que le 1er janvier 2010, à la suite d’une merveilleuse rencontre avec un vieux sage, au cœur de l’Afrique, que je décide d’exercer ce métier passion. Avant cela, j’ai passé bien des années à parcourir le monde et à me nourrir de belles rencontres. Ici, là-bas, et surtout ailleurs…

Au fil des ans, la céramique a pris le pas sur d’autres media car elle est la seule discipline alliant les quatre éléments : la terre que l’on pétrit, l’eau qui l’attendrit, l’air qui la sèche, et le feu qui la cuit.

Mes sculptures sont abstraites et évocatrices des valeurs auxquelles je crois : la tolérance, la paix et l’amour. Le tout relevé d’un petit grain de folie et un zeste d’impertinence. Une fois cuites et émaillées, mes pièces sont le plus souvent soclées sur des plaques d’acier dont j’apprécie la sobriété et les infinies nuances anthracite. Elles se présentent alors à la verticale, telles des tableaux.

Je ne réalise que très rarement des croquis préalables. C’est à peine si je pressens, par instinct plus que par raison, que « quelque chose » doit advenir. Ce quelque chose que les maîtres Kandinsky et Klee auraient qualifié, bien avant et mieux que moi, d’ « impérieuse nécessité » qui « préexiste à son auteur ». Dans ce processus créatif, je tente de faire la part belle à la surprise et même à l’accident. Je tente alors d’accueillir l’imprévu tel qu’il se manifeste et ce qui émerge me nourrit souvent bien plus que ce qui est planifié. Cette démarche m’a permis de faire mes plus belles découvertes. Il n’est alors pas rare, qu’une fois achevée, une œuvre me murmure à l’oreille une pensée. Ce n’est pas ma tête qui pense et mes mains qui exécutent. Ces sont mes mains qui pensent et mon cœur qui écoute. Et ce qu’il entend, je le transcris avec des mots. L’émail, les mots…

Bienvenue donc dans mon monde imaginaire où s’entremêlent rêves et matières. Le monde où je vis. Un monde où l’œuvre d’art devient le prétexte et le témoin d’une rencontre, notre rencontre, ici et maintenant. Et si nous décidions, vous et moi, de ne retenir de l’art, non l’objet, mais un voyage, un voyage plutôt qu’une destination, un voyage que symboliserait une aile. Un voyage et un lien, aux allures d’apostrophe, qui nous relient désormais ?

Ne retenir de l’art que son aile et son apostrophe…


E X P O S I T I O N S   

2015
New York, Yew Tree House Gallery, depuis janvier
Aix en Provence – Pavillon d’honneur de la Mairie, du 3 au 18 avril
Vallauris – Musée National Picasso, de janvier à mai
Marseille – Salon International d’Art Contemporain (SIAC) du 13 au 16 mars
Saint Tropez – Le Lavoir Vasserot, du 8 au 21 octobre
Citadelle de Bonifacio – Salle du Corps de Garde, du 1er au 15 septembre
Aix en Provence – Galerie 361°, du 6 au 20 juillet

 

2014
Parma, Italie – Galerie A+10
Paris – Grand Marché d’Art Contemporain
Albissola, Italie – 9ème Biennale d’Art
Valbonne – Chapelle du Saint Esprit
Saint Tropez – Le Lavoir Vasserot
Fréjus – Base’Art 2014
Valbonne – Galerie Casablu
Aix en Provence – Galerie 361°
Antibes – Galerie Zanka
Salernes – Musée Terra Rossa

2013
Aix en Provence – Galerie Les Amis des Arts
La Garde – Biennale Them’Art
Citadelle de Bonifacio – Espace Saint Jacques (Espace du FRAC)
Vallauris – Galerie A.V.E.C.
Valbonne – Salon d’Art Contemporain