Liselotte Andersen s’inspire de la question du vivre ensemble dans le respect et l’amour de l’autre. Les lignes épurées de ses sculptures construisent un mouvement où le plein et le creux s’harmonisent. Explorant les attitudes et les interactions humaines, l’artiste questionne la complémentarité et les connexions particulières. La sculpture est pour elle un “chemin formidable vers soi et vers l’autre”.
Véronique Gérard est inspirée par les arbres, elle sillonne le massif des Maures vers la conquête aérienne de la végétation. Elle réalise ainsi des images miroir, tel que Rorschach l’expérimentait en peinture, et la magie de la fusion lui offre une nature cosmique. Les arbres sortis de leur contexte terrestre symbolisent les poumons de la terre, leur part active dans l’univers, leur contribution à l’équilibre du grand tout.